Restaurant Le Nautilus à l’Isle Adam
LE NAUTILUS
En extérieur sur la grande terrasse dans un cadre fleuri et ombragé, ou en intérieur grâce aux larges baies vitrées, vous profiterez d’un panorama imprenable sur les bords de l’oise, le pont du Cabouillet ou encore sur la plus grande plage fluviale de France.
Directement accessible du centre ville par le pont du Cabouillet, de la gare par la rue de Conti, une passerelle en bois permet également de rejoindre l’île de la Cohue à partir du quartier du cinéma. Des parkings, en bordure de plage ou sur le quartier du cinéma, vous permettront un accès facile à notre établissement.
Entièrement rénové, dans un thème original où les fonds marins et le capitaine Nemo ne sont pas loin, Le Nautilus offre un cadre chaleureux et cosy où les accessoires de décoration ne vous laisseront pas indifférents.
Il y fait bon se décontracter pour un repas le midi ou le soir, à l’heure du thé ou simplement pour boire un verre. La restauration, de type traditionnelle, est réalisée dans nos cuisines. Une carte offrant des plats variés et gourmets voisine avec des formules servies le midi avec une entrée, un plat et un dessert du jour suivant l’arrivée du marché.
Le Nautilus est également un bar-lounge où vous pourrez découvrir des cocktails originaux à déguster avec modération. Une équipe jeune et dynamique ne demande qu’à vous faire partager leur plaisir de vous servir.
UN PEU D’HISTOIRE
L’île de la Cohue est une des trois îles de la commune de l’Isle-Adam. Plus petite que les autres, c’est là que se tenaient les marchés sous l’Ancien Régime.
Le terme «cohue» renvoyait à l’action de faire du bruit et de huer. Les commerçants venus vendre leurs produits devaient même payer une taxe de «cohuage».
Toujours construite et habitée, l’île de la Cohue est reliée, sur la rive droite de l’Oise, à l’île du Prieuré et, sur la rive gauche au centre-ville de l’Isle Adam par le pont du Cabouillet, monument historique du début du XVème.
Le trafic fluvial (bateaux tirés par des chevaux) passait sous les trois arches de cet édifice en pierre jusqu’en 1866. Il est le seul des trois ponts à avoir résisté aux différentes guerres qui ont touché la commune.
Les rives de l’île de la Cohue sont désormais un paradis pour les pêcheurs et les promeneurs. Aménagées, elles offrent un cadre reposant et un dépaysement total pour découvrir les paysages qui ont inspiré les peintres de l’Ecole des bords de l’Oise, et son chef de file Jules Dupré (1811- 1889).
On peut également y admirer la sirène Evila (contraction d’Eve de l’Isle-Adam), une œuvre en bronze inaugurée en 1992 et qui donne une indication sur l’importance des crues de l’Oise.